EOS, SANS OBJECTIF autre que de rouler en plein soleil et cheveux au vent...!

Il n'y a pas que la photographie qui a vécu (et vit encore) sa période "EOS". "Une" autre EOS, convertible et confortable, avait vu le jour outre-Rhin il y a déjà longtemps. Souvenirs...

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- KELEREPUS -

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- KELEREPUS, 28 juillet 2023. C'est un réflexe, quand on entend parler d'EOS, c'est souvent vers le monde de la prise de vue que l'esprit s'oriente. Pourtant, ce nom en trois lettres a aussi eu son heure de gloire, assez discrète il est vrai sur le sol de l'Hexagone. Chez Volkswagen, groupe VAG, au milieu des années 1980, les dirigeants n'ont pas été insensibles à un marché qui commençait à prendre forme, celui des cabriolets convertibles. Des cabriolets à toits rigides motorisés, dont notamment Peugeot avait lancé des versions sur ses 206, 306 etc., certaines étant d'ailleurs toujours de ce monde, au moins sur les routes. Pour baptiser son véhicule, logé sur un chassis ayant pas mal de points communs avec d'autres modèles du groupe, en VW et Audi, Wolfsburg avait choisi EOS, la déesse grecque de l'Aurore, fille de Titan et de la Terre, on a les ascendants que l'on peut...  Après être "née" médiatiquement au salon de Francfort en 2005, cette élégante création a été produite de 2006 à 2016. Une décennie qui l'a vue se propager notamment sur le marché américain. Si elle n'a pas laissé dans le cœur des collectionneurs français un souvenir impérissable, elle reste appréciée en particulier pour la très inventive mobilité de sa toiture mobile, avec une partie vitrée et, certaines réputations ne s'inventent pas, pour une "Deutsche Qualitat" que n'affichaient pas forcément des concepts assez proches venus de productions plus latines. Comme tous les cabriolets, cette voiture a inévitablement été soumise aux nombreux clichés d'amateurs et de pros de la pellicule. Ce qui fait que cette EOS a aussi été figée en images avec des EOS d'origine japonaise, le célèbre coup de Canon de l'Empire du Soleil levant. 

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