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Loin de toute perception au doigt mouillé ou relevant d'une intime conviction, les chiffres confirment l'influence déterminante du mobile capteur d'images pour faire naître une forme de loisirs pouvant aller jusqu'à la passion.
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- KELEREPUS -
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- KELEREPUS, 27 juillet 2025. C'est en forgeant que l'on devient forgeron. En matière photographique, "forger" commence avec la première image capturée, ce qui désormais très souvent se produit avec l'instrument électronique le plus répandu dans la population, le smartphone. Avant, comme le dirait de long en large tout observateur passionné de simple logique, il fallait absolument posséder un appareil photographique pour se risquer à la moindre capture. Ce qui supposait une démarche devenue assez classique. Des vacances, un baptême, une communion, un mariage... et hop, direction la boutique spécialisée la plus proche, ou l'hyper, et le candidat clicheur s'offrait un petit joujou, bijou doté d'un seul caillou, compact.; ou se contentait-il même d'un "prêt à photographier" (souvent rebaptisé "jetable"). Avec ses nombreuses variations de formats, les "anciens", très ou un peu moins, en ont vu passer de ces choses qui avaient changé.! Les 6x9, les 6x6, les 24x36, les instamatiques, les APS, les... et puis quoi encore. Un babyboomer se rappelle même avoir entendu parler de "bobines de bois", ou de "gros trous". Seule dans ce qui n'était pas loin d'un pataugeage confus, l'industrie photo n'avait pas encore imaginé pouvoir un jour être concurrencée par une autre technique. Puis est arrivé le numérique, fin de la chimie et des émultions, fin de l'alchimie des révolutions pour domination (commerciale). Dans le sillage de cette tornade numérique, est né le smartphone, un envahisseur destructeur, jusqu'à ce que, peut-être, mort s'en suive.
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Loin d'en être le fossoyeur, le smartphone est devenu pour la photo le plus puissant générateur de motivations et de passions.
Il en a donc fallu, du temps, pour que certains réalisent que, loin d'être une condamnation à mort pour l'APN, le smartphone pouvait aussi devenir cette première marche à franchir pour des quidams se prenant l'envie et au-delà de faire des images. "Faire", chacun le comprend, va bien plus loin que simplement figer une scène, un portrait, une ambiance. Si les limites que ce smartphone place dans une pratique évolutive font qu'il n'est pas, en la matière, totalement le pied, il est en réalité le pied à l'étrier. Lequel arrive non plus seulement chez ceux qui avaient soudain envie de quelques photos, occasionnelles, mais chez quasiment tout individu. Et les effets se font sentir et se chiffrent, dans ce que met en exergue la 10ème édition de l'étude Sociovision préparée pour le prochain Salon de la Photo de Paris (qui se tiendra à la Grande Halle de la Villette à Paris, du 9 au 12 octobre 2025). La très vigoureuse progression des aptitudes, en photo et en vidéo, de ces mobiles face à l'image, où l'IA s'invite d'une manière très concrète, ont permis aux amateurs de satisfaire des envies, et même de franchir les limites d'un équipement très polyvalent, pour entrer dans l'univers de la photo "majuscule". Reste aux rayons à moins se concentrer sur seulement des préoccupations de télécommunications, et à donner à leurs offres de smartphones la continuité de présentation et les compétences des forces de vente que le sujet et le CA méritent, dans un meilleur prolongement des univers de l'image (imprimantes incluses).
- Photo ci-dessus : empruntée à la présentation de l'étude Sociovision 2025, sur laquelle nous revenons bientôt, sur KELEREPUS.eu et sur DVSM.eu...
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