- LES JETS auraient-ils survécu sous les regards écologiques de maintenant ?

Il faut laisser du temps au temps, notamment en termes de conquêtes techniques. Ne manquons jamais les bonnes réactions.

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- KELEREPUS -

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- KELEREPUS, 18 février 2025. Il n’a pas de fumée sans feu. Mais il est possible de faire du feu sans qu’une fumée ne le décèle. Ce quadriréacteur illustre ce propos. Prenant l’air dans les palpitantes années 1950, on ne cherche pas à en effacer les traces de son envol. Les turboréacteurs d’hier n’étaient pas tendre avec l’atmosphère. Mais à chaque moment suffisent ses contraintes. Pour des aéronefs rapides, confortables, performants, la propulsion par hélices avait montré ses limites. La réaction était la bonne piste. Encore fallait-il en tracer la voie, la développer, l’affiner. Avec le recul, une réalité vient immédiatement à l’esprit. Si les cohortes d’intégristes et opposants à tout, tels que nous en connaissons aujourd’hui, avaient assisté à de tels décollages, ils auraient probablement tout fait pour en empêcher, donc interdire la multiplication. Au risque de ne même pas permettre au transport aérien de devenir ce qu’il est aujourd’hui, le moins polluant de tous (même que l’automobile, partant accusée de dommages largement inférieurs à vie que certains laissent entendre). À méditer.

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