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Le mot "interdiction" est à nouveau dans le langage médiatique à la Une. Visés, les Coyote, Wase et autres. La plus stupide des prohibitions, puisque orientée à l'opposé de la sécurité.
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- KELEREPUS -
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- KELEREPUS, 24 janvier 2024. Alors que les élections européennes approchent, toutes les initiatives reviennent au premier plan. Dont celles des politiques en mal de "n'auto"-riété, n'ayant sans doute pas grand chose d'intéressant à dire. On a les promesses électorales qu'on peut. Chez nos amis belges, ça vocifère bon train, ton courroucé en bandoulière. Des représentants du "tout interdire d'abord" reviennent au galop sur leur souhait d'interdire les logiciels qui permettent à tout conducteur de savoir où sont implantés les radars routiers. Ainsi, leur volonté de voir les conducteurs trop rapides se faire verbaliser dépasse totalement celle de constater qu'ils passent à vitesse modérée là où c'est prudent. Or, si avec intelligence, les radars sont implantés sur les portions de route présentant des dangers, le fait d'y constater des ralentissements devrait constituer la réussite parfaite du but sécuritaire recherché. Non, laissons-les foncer, pénalisons, ponctionnons...! Tel est le message induit, qui permet aussi de comprendre pourquoi, outre-Quiévrain comme sur d'autres territoires, les radars sont souvent implantés là où une élévation de la vitesse s'avère peu dangereuse. CQFD...
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