COP-27 : et si l'on osait le moteur diesel...? Chiche, juste pour l'effet de serre, la logique.

Le destin de l'automobile et de ses industries pourrait-il être bouleversé...? Certaines grandes affirmations laissent un arrière-goût de n'importe quoi.

- KELEREPUS, 10 novembre 2022. C'est l'histoire d'une particule qui se retrouve en plein dans les courants d'ère. Elle est montrée du doigt car cataloguée responsable de pathologies respiratoires et se doit d'être éliminée. On la pense surtout générée par des moteurs dégustant du gazole. Pouah.! A ceci près que, si les pathologies semblent progresser (à vérifier), cette tendance s'affiche contradictoire avec un parc auto en repli, notamment dans la capitale où, par ailleurs, des particules de même mauvaise réputation se promènent dans l'air du métro. "Mais, M'sieur Kelerepus, à la Cop du jour, ce n'est pas que de la capitale qu'il est question, mais de la terre entière", pourrait-on entendre rétorquer. Juste. Donc, le sujet n'est à l'évidence pas le sort meilleur des poitrinaires, mais le réchauffement. Dans cette circonstance, il faudrait se rappeler que, n'ayant jamais été démenti scientifiquement, les moteurs diesel sont les thermiques qui relâchent le moins de ces gaz à effet occultant que l'on cherche à limiter. Donc, au lieu d'échafauder des stratégies sur des sources solaires ou venteuses encore bien peu performantes, au lieu de tromper le bon peuple avec des perspectives hydrogéniques totalement irréalistes (et de plus pas forcément moins polluantes), pourquoi ne pas oser une lente transition appuyée sur du thermique au gazole...? Chiche...!

  - AUTRES INFORMATIONS, IMAGES, DE L'HISTOIRE, DE LA PRATIQUE >>> -