AERIEN : touche pas à mon jet "privé", peut-être qu'il te sera fort utile un jour...

Un peu comme le SUV, mais un peu plus haut, le "jet privé" est devenu l'un des symboles de la "richophobie" ambiante très appréciée de quelques bobos et/ou gogos. Et pourtant...

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- KELEREPUS, 21 novembre 2022. Non, voler de la sorte n'est pas du vol, ni même du gaspillage. Quant à l'empreinte carbone, le dada d'une religion devenue à la mode, que ne lui collerait-on pas sur le dos, au mépris des chiffres aussi révélateurs que bien réels. Mais, simple question, pour éclairer le sujet. A-t-on besoin, hors envie de se montrer plus possesseur que d'autres, de petits jets rapides, maniables, commodes à utiliser quasiment dans l'instant...? (Alors que la préparation du vol d'un moyen ou gros porteur est plus compliquée). Tous les socio-courroucés par ces aéronefs qu'on baptise "jets privés" seraient-ils insatisfaits de pouvoir compter sur l'un deux si, ayant un jour besoin d'une greffe vitale d'organe, ils bénéficiaient de l'acheminement ultra-rapide d'un greffon venu d'un autre bout du pays.?  Ou auraient-ils assez de détestation à l'égard du "coucou" utilisé pour leur rapatriement sanitaire dans des circonstances graves et compliquées.?  Dassault (Falcon), Cessna (Citation), Learjet et quelques autres industriels pourraient-ils développer, construire et entretenir de tels appareils pour ces seuls usages d'urgence, sans que des professionnels en aient aussi besoin, pour gagner du temps, de la discrétion, de la souplesse dans leurs missions. Retour sur terre... Merci. 

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